L’entreprise Najar (anciennement Welii) propose d’accompagner les entreprises dans l’achat de logiciels pour éviter les surcoûts, et de les aider à négocier leurs contrats.
Le Software as a Service (SaaS) coûte de plus en plus cher aux entreprises. Rien qu’entre la mi-2022 et la mi-2023, leurs dépenses sur ces logiciels ont augmenté de 27 % par employé au niveau mondial, selon l’Inflation Index de Vertice. Rationaliser les usages devient donc un enjeu, en identifiant les logiciels qui répondent à des besoins similaires et ceux qui sont sous-utilisés ou non-adaptés à l’entreprise. La start-up Najar (anciennement Welii) propose de redonner la visibilité sur les usages de SaaS et d’optimiser les dépenses.
« Avant Welii, j’étais directeur financier dans une entreprise d’une centaine d’employés. J’ai constaté que, bien souvent, les opérateurs achètent directement les SaaS pour subvenir à leurs besoins. Sauf qu’ils ne sont pas de bons négociateurs et qu’ils ne font pas des achats adaptés pour l’entreprise », décrit Vincent Coste, CEO de Najar. Ces pratiques empêchent les DSI et les directions financières d’avoir une visibilité globale des dépenses de l’entreprise, afin de les optimiser.
Un bilan sur les axes achats, juridique et IT est proposé pour chaque contrat SaaS, en cours ou faisant l’objet d’une demande d’un utilisateur.
Partant de ce constat, Vincent Coste s’est associé à Killian Buffard, ancien directeur France de la société Namagoo, pour lancer la start-up Welii en 202...