L’informatique en nuage simplifie les traitements de l’imagerie médicale
Cloud computing et big data ouvrent de nouveaux horizons en termes de pratiques médicales. A l’image du projet Région sans film, un cloud français pour l’imagerie médicale.
CLOUD. Privé ou public, le cloud est désormais la base de tous développements informatiques modernes. Mais l’environnement de stockage ne fait pas tout. Serveurs, stockage, mise en réseau, logiciels… Ce sont aujourd’hui l’ensemble des services IT SaaS (Software as a Service), PaaS (Platform as a Service) et IaaS (Infrastructure as a Service) qui sont aujourd’hui la base de l’informatique en nuage. Le cloud est également un enjeu important aussi bien pour les pouvoirs publics (doctrine SecNumCloud de l’ANSSI) que pour les acteurs privés. Avec, au centre, des enjeux d’économies substantielles, d’optimisations bienvenues et d’innovations indispensables. Avec des évolutions telles, que petit à petit, le cloud devient hybride. Toutefois, bâtir un environnement hybride nécessite de choisir la bonne approche. Faut-il concevoir une version privée avec des technologies d’infrastructure d’entreprise qui peuvent s’étendre au cloud public ? Faut-il avoir la démarche inverse pour partir d’un environnement public et étendre progressivement l’usage de ses technologies vers un environnement privé ? Mais deux certitudes : il faut en contrôler les coûts en dessinant une stratégie FinOps pertinente. Tout passe désormais par le contrôle du coût des workloads et du dimensionnement des infrastructures utilisées. La seconde certitude c’est celle de ne jamais négliger la sécurité. Un basculement rapide du patrimoine applicatif dans le cloud peut avoir pour conséquence de créer un important backlog de vulnérabilités où seule une stratégie de zéro trust pourra sécuriser le SI. Rassurons-nous : l’hybridation ne change pas vraiment les métiers de la sécurité informatique. C’est juste plus d’automatisations, plus d’assets à gérer, et quelques outils au niveau de la couche d’abstraction à maîtriser.
Cloud computing et big data ouvrent de nouveaux horizons en termes de pratiques médicales. A l’image du projet Région sans film, un cloud français pour l’imagerie médicale.
Les entreprises n’ont pas toutes les garanties nécessaires, mais les avantages du cloud sont si intéressants qu’elles y vont quand même. Les DSI témoignent.
Une étude met à mal la perception des Américains sur le cloud computing. Seuls 16% apportent une définition précise de l’informatique en nuage.
Une semaine après vCloud Suite de VMware, Microsoft lance son système Windows Server 2012 avec le même objectif : simplifier la transformation du centre de données en cloud.
Selon une étude de Kantar Media, 62 % des smartphones vendus en France fonctionnent sous Android. Les iPhone ne représentent plus que 11,7 % de part de marché, pratiquement autant que les Blackberry, à 10,1 %.
Economies d’échelle, facilité de maintenance, considérations environnementales sont autant de points améliorables, une fois connues l’envergure et l’utilisation du parc d’impression.
Pour les constructeurs, la chute vertigineuse des serveurs haut de gamme n’est pas compensée par l’augmentation des ventes d’unités x86.
Les constructeurs ou prestataires indépendants proposent des services d’impression pour rationaliser les parcs. Leur audit conduit souvent à centraliser les machines, au risque de mécontenter les utilisateurs.
La Chine s’est réveillée et le monde n’a pas fini de trembler. Dès la fin de l’année, l’ex-Empire du Milieu pourrait devenir le premier marché mondial pour les smartphones seront une étude prospective d’IDC.
En Europe, 65 % des utilisateurs de PC n’ont jamais entendu parler du nuage informatique, ou n’en connaissent que le nom.