La Cnil se préoccupe enfin du cloud computing
La Commission prépare une boîte à outils juridico-technique pour se préparer à ausculter aussi l’informatique en nuage.
CLOUD. Privé ou public, le cloud est désormais la base de tous développements informatiques modernes. Mais l’environnement de stockage ne fait pas tout. Serveurs, stockage, mise en réseau, logiciels… Ce sont aujourd’hui l’ensemble des services IT SaaS (Software as a Service), PaaS (Platform as a Service) et IaaS (Infrastructure as a Service) qui sont aujourd’hui la base de l’informatique en nuage. Le cloud est également un enjeu important aussi bien pour les pouvoirs publics (doctrine SecNumCloud de l’ANSSI) que pour les acteurs privés. Avec, au centre, des enjeux d’économies substantielles, d’optimisations bienvenues et d’innovations indispensables. Avec des évolutions telles, que petit à petit, le cloud devient hybride. Toutefois, bâtir un environnement hybride nécessite de choisir la bonne approche. Faut-il concevoir une version privée avec des technologies d’infrastructure d’entreprise qui peuvent s’étendre au cloud public ? Faut-il avoir la démarche inverse pour partir d’un environnement public et étendre progressivement l’usage de ses technologies vers un environnement privé ? Mais deux certitudes : il faut en contrôler les coûts en dessinant une stratégie FinOps pertinente. Tout passe désormais par le contrôle du coût des workloads et du dimensionnement des infrastructures utilisées. La seconde certitude c’est celle de ne jamais négliger la sécurité. Un basculement rapide du patrimoine applicatif dans le cloud peut avoir pour conséquence de créer un important backlog de vulnérabilités où seule une stratégie de zéro trust pourra sécuriser le SI. Rassurons-nous : l’hybridation ne change pas vraiment les métiers de la sécurité informatique. C’est juste plus d’automatisations, plus d’assets à gérer, et quelques outils au niveau de la couche d’abstraction à maîtriser.
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