Le high-tech américain en panne de cloud
Une panne chez Amazon a révélé les dangers d’une mauvaise utilisation du nuage.
CLOUD. Privé ou public, le cloud est désormais la base de tous développements informatiques modernes. Mais l’environnement de stockage ne fait pas tout. Serveurs, stockage, mise en réseau, logiciels… Ce sont aujourd’hui l’ensemble des services IT SaaS (Software as a Service), PaaS (Platform as a Service) et IaaS (Infrastructure as a Service) qui sont aujourd’hui la base de l’informatique en nuage. Le cloud est également un enjeu important aussi bien pour les pouvoirs publics (doctrine SecNumCloud de l’ANSSI) que pour les acteurs privés. Avec, au centre, des enjeux d’économies substantielles, d’optimisations bienvenues et d’innovations indispensables. Avec des évolutions telles, que petit à petit, le cloud devient hybride. Toutefois, bâtir un environnement hybride nécessite de choisir la bonne approche. Faut-il concevoir une version privée avec des technologies d’infrastructure d’entreprise qui peuvent s’étendre au cloud public ? Faut-il avoir la démarche inverse pour partir d’un environnement public et étendre progressivement l’usage de ses technologies vers un environnement privé ? Mais deux certitudes : il faut en contrôler les coûts en dessinant une stratégie FinOps pertinente. Tout passe désormais par le contrôle du coût des workloads et du dimensionnement des infrastructures utilisées. La seconde certitude c’est celle de ne jamais négliger la sécurité. Un basculement rapide du patrimoine applicatif dans le cloud peut avoir pour conséquence de créer un important backlog de vulnérabilités où seule une stratégie de zéro trust pourra sécuriser le SI. Rassurons-nous : l’hybridation ne change pas vraiment les métiers de la sécurité informatique. C’est juste plus d’automatisations, plus d’assets à gérer, et quelques outils au niveau de la couche d’abstraction à maîtriser.
Une panne chez Amazon a révélé les dangers d’une mauvaise utilisation du nuage.
Le projet Horizon sera un portail entre n’importe quel poste client et l’entreprise grâce auquel on pourra utiliser indifféremment des applications Saas ou Windows.
Couac chez HP. On sait que le géant américain prépare une stratégie cloud public, façon Amazon. Son vice-président ingénierie s’est laissé aller à quelques indiscrétions sur Linkedin.
Emmanuelle Olivié-Paul, directrice associée de Markess, répond aux questions de 01net sur l’édition 2011 du baromètre des prestataires cloud computing et Saas en France.
Pour l’heure en phase bêta, Microsoft Office 365 Marketplace complète l’offre cloud computing Microsoft d’un App Store.
La version finale est prévue d’ici la fin de l’année. Les clients BPOS (Business Productivity Online Services) auront un an pour passer à Office 365.
Salesforce tenait aujourd’hui l’édition parisienne de son cycle de conférence Cloudforce. L’occasion pour son PDG de faire le point sur l’activité de l’éditeur de cloud computing, l’occasion aussi d’égratigner ses concurrents.
Quest Migrator for Cloud Email met l’accent sur la migration directe de données d’un cloud à un autre.
L’opérateur met en production une solution logicielle Oracle industrialisant la fourniture de ses services cloud avec contrat de niveau de service.
Microsoft profite de son salon MMS 2011 pour détailler tous les prochains modules de sa console d’administration, laquelle sera disponible au second semestre.