Un virus attaque les antivirus en mode cloud
Baptisé Bohu, ce cheval de Troie chinois bloque les connexions entre l’ordinateur et le serveur distant. De quoi se poser des questions sur la sécurité des protections à distance…
CLOUD. Privé ou public, le cloud est désormais la base de tous développements informatiques modernes. Mais l’environnement de stockage ne fait pas tout. Serveurs, stockage, mise en réseau, logiciels… Ce sont aujourd’hui l’ensemble des services IT SaaS (Software as a Service), PaaS (Platform as a Service) et IaaS (Infrastructure as a Service) qui sont aujourd’hui la base de l’informatique en nuage. Le cloud est également un enjeu important aussi bien pour les pouvoirs publics (doctrine SecNumCloud de l’ANSSI) que pour les acteurs privés. Avec, au centre, des enjeux d’économies substantielles, d’optimisations bienvenues et d’innovations indispensables. Avec des évolutions telles, que petit à petit, le cloud devient hybride. Toutefois, bâtir un environnement hybride nécessite de choisir la bonne approche. Faut-il concevoir une version privée avec des technologies d’infrastructure d’entreprise qui peuvent s’étendre au cloud public ? Faut-il avoir la démarche inverse pour partir d’un environnement public et étendre progressivement l’usage de ses technologies vers un environnement privé ? Mais deux certitudes : il faut en contrôler les coûts en dessinant une stratégie FinOps pertinente. Tout passe désormais par le contrôle du coût des workloads et du dimensionnement des infrastructures utilisées. La seconde certitude c’est celle de ne jamais négliger la sécurité. Un basculement rapide du patrimoine applicatif dans le cloud peut avoir pour conséquence de créer un important backlog de vulnérabilités où seule une stratégie de zéro trust pourra sécuriser le SI. Rassurons-nous : l’hybridation ne change pas vraiment les métiers de la sécurité informatique. C’est juste plus d’automatisations, plus d’assets à gérer, et quelques outils au niveau de la couche d’abstraction à maîtriser.
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L’antique langage informatique, né en 1959, qui obligeait les développeurs à compter les espaces dans le code, la langage du mainframe fonctionne désormais dans le cloud sur Microsoft Azure.
Dans le cadre des pôles de compétitivité, l’Etat investit 10 millions d’euros dans le projet Compatible One. Objectif : doter la France de ses propres technologies cloud computing.
Pour sa conférence utilisateurs, le spécialiste du Saas est revenu, comme on s’y attendait, sur les atouts du cloud et sur l’intérêt d’une collaboration contextuelle au CRM.
Finie l’époque des pure players. Opérateurs, SSII, hébergeurs… tous proposent leurs offres de cloud computing. Pour voir plus clair dans cette nouvelle jungle des tarifs, voici un tableau comparatif.
Pour séduire les futurs hébergeurs d’offres cloud, HP unifie l’administration de tous ses produits et propose des infrastructures prêtes à l’emploi.
Quatre offres sont prévues : les deux premières, des services cloud d’infrastructure, les suivantes des services applicatifs hébergés.
Le directeur technique d’Amazon.com met en garde contre les peurs entretenues autour des services cloud. Ce qui n’empêche pas sa propre activité Web Services d’engranger les clients.
Oracle connait le succès avec Exadata, une machine dédiée aux datawarehouses. Le géant enfonce le clou et lance Exalogic, une appliance pour les applications Java. Une solution qualifiée d’« Appliance Cloud ».
Microsoft Dynamics CRM 2011 est disponible en mode bêta. La plate-forme CRM de Microsoft sera présente, pour la première fois en France, sous licence traditionnelle ou en mode cloud. Une solution va être étendue via un […]