Coentreprise IBM-SNCF : un an de contestations
Depuis l’annonce de la joint-venture, les informaticiens de la SNCF sont vent debout contre le projet. Retour, en quelques dates, sur les événements marquants qui ont émaillé l’année 2010.
DEV. Le développement informatique ou « Dev » est désormais réalisé en mode DevOps, une approche conciliant le développement et les opérations. Accélérer les lancements de produits, offrir une meilleure réactivité aux besoins et à la demande des clients comme la promesse d’offrir un meilleur environnement de travail… trois avantages procurés par la philosophie DevOps. Sept principes régissent aujourd’hui le mouvement DevOps : un investissement organisationnel, une meilleure expérience et efficacité des chefs d’équipe, une livraison continue, la capacité des différentes disciplines à obtenir des résultats probants, la performance organisationnelle, un meilleur déploiement comme l’utilisation des pratiques de gestion Lean. Autre tendance, celui du no/low code. En donnant la possibilité aux utilisateurs non-techniciens de concevoir leurs propres applications, ils favorisent en règle générale des développements plus rapides et plus en adéquation avec les réels besoins métiers. C’est également une excellente réponse au manque de compétences sur le marché, évitant d’avoir recours à des talents rares, donc chers, l’entreprise peut aussi réduire ses coûts. Enfin, en permettant de consommer n’importe quel logiciel par un autre, l’API devient un facteur de différenciation pour les entreprises « accessibles » via leurs API.
Depuis l’annonce de la joint-venture, les informaticiens de la SNCF sont vent debout contre le projet. Retour, en quelques dates, sur les événements marquants qui ont émaillé l’année 2010.
Annoncé en janvier 2010, la création d’une filiale commune entre les deux groupes traduit la volonté de la SNCF de mieux gérer sa sous-traitance informatique. Un an après, la co-entreprise lance les premiers centres de services.
La DSI groupe de GDF Suez a signé avec Orange Business Services un contrat d’infogérance de ses infrastructures serveurs sur six ans. Il inclut un partenariat pour la mise en place de solutions innovantes et la […]
La société spécialisée dans le conseil en infrastructures affiche un chiffre d’affaires consolidé de 106,4 millions d’euros, en hausse de 31 %. A périmètre comparable, le chiffre d’affaires du groupe a stagné à + 0,5 %.
Les entreprises qui passent au Mac bénéficient désormais du service d’assistance Joint Venture. Un service modeste.
La société officialise la reprise d’une partie des activités du groupe Team Partners. L’avenir des filiales restantes reste en suspens.
Comme ses consœurs, la SSII confirme une reprise de l’activité.
Enregistrant une forte progression de ses prises de commandes fin 2010, la SSII table sur une croissance de 3 à 4 % de son chiffre d’affaires.
Les résultats de la SSII britannique sont stables par rapport à l’an dernier. La filiale française se distingue avec une croissance de son activité de 7 %
La société de services et d’ingénierie informatique affiche une croissance organique supérieure au marché à 6,2 %. Mieux, sa marge opérationnelle atteint 10 %, un niveau rare pour une SSII.