Valls et Pellerin veulent renforcer la lutte contre la cybercriminalité
Une convention a été signée par les deux ministres entre la CNIL et l’OCLCTIC, les “cyberpoliciers” de la police judiciaire française.
SECU. Qu’elle soit informatique ou cyber, la sécurité des technologies de l’information s’applique aussi bien aux réseaux, à Internet, aux points de terminaison, aux API, au cloud, aux applications, aux conteneurs et à toutes les autres ressources qui ont besoin d’être protégées contre les attaques, les dommages ou les accès non autorisés. Personne n’a oublié la faille Log4Shell qui a affecté en 2022, la bibliothèque open source de gestion de logs Apache Log4j. Elle fait aujourd’hui référence en matière de risque de la supply chain logicielle. Mais ce n'est qu'un exemple parmi d'autres. Selon la dernière édition du baromètre du CESIN (qui compte plus de 900 responsables de la cybersécurité) : « en moyenne, les entreprises qui ont constaté au moins une attaque en ont concrètement subi 3 en moyenne dans l’année ». Le principal vecteur d’attaques constaté est une nouvelle fois le phishing devant l’exploitation d’une faille et l’arnaque au président (qui reste très présente). Les systèmes informatiques des entreprises sont donc mis à rude épreuve avec notamment la recrudescence de ransomwares, de botnets et d’autres calamités. Les menaces en matière de sécurité, peuvent paralyser en un clic tout ou partie du SI des sociétés et des établissements publics. Les attaques réussies font des dégâts sérieux. Dans 60 % des cas, elles impactent fortement le business des entreprises. Alors que les RSSI bataillent pour sensibiliser leurs salariés et qu’en France 91 % des attaques arrivent par mail, l’heure est à l’action. Avec un arsenal qui s’étoffe année après année, il faut comprendre la manière d’aborder ce chantier permanent afin de penser résilience du système d’information. D’ailleurs, la question n’est plus de savoir si vous allez être attaqué, mais quand et comment ?
Une convention a été signée par les deux ministres entre la CNIL et l’OCLCTIC, les “cyberpoliciers” de la police judiciaire française.
Pour l’ Union Européenne et les Etats-Unis, l’objectif est le combat contre les cybercriminels. Un accord de coopération dans cette lutte a été mis en place à travers l’EC3 dont le centre vient d’être inauguré à […]
Même si huit de vos doigts sont flashés lors de la demande de passeport, la CNIL a vérifié que seules deux empreintes digitales étaient conservées.
L’éditeur de logiciels de sécurité proposera dès la semaine prochaine une version gratuite pour les PME.
Les failles de sécurité pour Java se multiplient, que ceux qui ne l’ont pas encore désactivé le fassent rapidement, c’est un conseil des experts en sécurité et du département de la Sécurité intérieur américain.
Le Parlement européen révèle que les services gouvernementaux américains ont le droit de surveiller toutes données accessibles en ligne, notamment celles stockées dans les services cloud américain, comme ceux de Google ou d’Apple.
Des chercheurs polonais ont développé un logiciel qui permet de dissimuler des données dans les paquets vides d’une discussion en ligne sur Skype.
Profitant d’un outil de démocratie numérique directe, les Anonymous ont déposé une pétition à la Maison Blanche pour que les attaques en déni de service deviennent une forme d’expression du mécontentement citoyen.
Le système de préplainte sur Internet sera ouvert en mars. Réservé aux atteintes contre les biens, il servira à une prise de rendez-vous ultérieure.
La défense nationale a fait appel à Landesk pour automatiser les mises à jour de ses 130.000 postes de travail et 2500 serveurs. Un projet étalé sur moins de deux ans.